Le numéro 21 de "Clic droit clic gauche" est consacré à la censure politique sur Internet. Comment et pourquoi les dictatures doivent-elles contrôler la toile ? Qui sont les principaux pays qui censurent les sites internet politiques ? Quelle est la situation en Chine, à quelques semaines de l'ouverture des Jeux Olympiques ? Quelles sont les entreprises occidentales complices de cette censure ? Les démocraties sont-elles menacées par des cyberattaques ? Enquête en 4 volets.

Interdire les sites de dissidents politiques, filtrer la blogosphère, poursuivre les auteurs de textes critiques à l'égard du pouvoir : tous les moyens sont bons pour censurer Internet dans les pays où la liberté d'expression n'existe pas. Une dizaine de pays, dont la Chine, pratique la censure sur la toile. Tour d'horizon de ces web-dictatures politiques.

Tous les samedis, retrouvez l'actualité de la politique sur le web. Au sommaire, du numéro 20 de "Clic droit, clic gauche" : - Clic droit : L'Elysée et le gouvernement veillent désormais sur la toile - Clic gauche : La nouvelle stratégie internet de Ségolène Royal - La toile d'araignée : le site communal d'Eric Besson - Post it vidéo : Campagne américaine, Bernadette Chirac, Mobilisation lycéenne

Lors du dernier remaniement ministériel, Eric Besson, secrétaire d'Etat à la prospection, a vu son domaine de compétences s'élargir. Il a obtenu le portefeuille de l'économie numérique. Il a donc en charge tous les dossiers liés à Internet : problème du téléchargement illégal, développement du haut débit, problème de la responsabilité entre les hébergeurs et les éditeurs, etc. Cette nomination avait été saluée par tous les...

Dans le cadre de la refonte de l'hebdo de la politique sur le net "Clic droit, clic gauche", nous lançons aujourd'hui une nouvelle rubrique vidéo, ce sont les "post it" de Politique.net. Il s'agit d'une revue de presse internet des informations politiques qui auraient pu vous échapper. Régulièremet, vous retrouverez donc quelques brèves politiques issues des principaux sites de presse en ligne (Arrêt sur images, Backchich.info, De Source Sure, Lepost.fr, Mediapart, Rue89, Six35...) sous la forme de post it...

Le financement public d'un parti politique est proportionnel à ses résultats électoraux. Pour obtenir une subvention de l'Etat pendant 5 ans, il faut obtenir plus de 1% des voix aux élections législatives dans plus de 50 circonscriptions différentes. Ce système est censé garantir l'équité démocratique : l'Etat se doit de financer uniquement les partis représentatifs d'une part non négligeable de la population. Revers de la médaille, ce système renforce les grands...

Pendant la campagne présidentielle, le slogan de la Ligue Communiste Révolutionnaire était percutant : "Nos vies valent plus que leur profit". Mais, même pour un parti politique d'extrême-gauche, le profit s'avère nécessaire pour militer plus efficacement et pour faire tourner le parti. Alors que le Parti Communiste (Marie-George Buffet) et Lutte Ouvrière (Arlette Laguiller) n'ont pas mis en ligne de boutiques pour vendre des produits dérivés, la LCR n'a pas eu cet état d'âme.

A la veille des fêtes de Noel, les partis politiques n'hésitent plus à compléter leur budget en proposant sur internet des produits dérivés : shop, t-shirt, montres avec le logo du parti. Mais les stratégies marketing divergent selon les tendances politiques et contrairement à ce qu'on pourrait penser, les clivages gauche/droite sont brouillés. Curieusement, les partis politiques de gauche ont mieux pensé leur boutique que les partis politiques de droite. Le commerce et la recherche du profit sont manifestement...

Clic droit, clic gauche fait le point chaque semaine sur l'actualité de la politique sur le web. Au sommaire de ce numéro 17 : - Vers la création d'un secrétariat d'Etat à Internet - Lepen2007.com est redirigé vers un site sur la torture pendant la guerre d'Algérie - Municipales : l'UMP de Paris affiche ses divisions sur le net

Le cybersquatting consiste à récupérer un nom de domaine à un propriétaire potentiel afin de profiter de l'audience d'un site déjà existant ou de la notoriété du propriétaire. Ainsi, l'année dernière, quelques mois avant l'élection présidentielle, un acheteur anonyme a acquis le nom de domaine www.lepen2007.com, sachant que le site officiel de Jean-Marie Le Pen pour la campagne présidentielle était www.lepen2007.fr. Depuis, l'acquéreur anonyme...